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Citigroup Economic Surprise Index et pétrole

11 Mai 2012 , Rédigé par jean-christophe duplat Publié dans #Marchés financiers

Le « Citigroup Economic Surprises Indicator » prend en compte et compile toute une série de statistiques parues sur le front économique, les compare à l’anticipation faite par le marché sur ces chiffres, pour ensuite chiffrer l’évolution à la hausse (consensus battu) ou à la baisse (déception) du contexte économique. 

 

L’on remarque clairement sur cette première analyse que le prix du pétrole (en jaune), lorsqu’il arrive à un certain niveau, ne stimule plus l’économie, et contribue même à une dégradation rapide du climat des affaires.

Raison de plus pour soutenir que le pétrole devrait refluer significativement dans les semaines à venir.   

 

oil-surprises-05-12.jpg

 

 

D’autre part, cet indice est passé en territoire négatif le 23 avril dernier, et s’établit aujourd’hui à -27.6%.

 

Or chaque fois qu’il s’est affranchi de cette zone, comme le montre cette courbe, les marchés financiers ont accéléré leur mouvement baissier.

Il s'agira probablement de l'accélération du mouvement de correction entamé il y deux semaines, et donc tout nous incite à attendre la fin de ce mouvement de baisse.

 

economic-surprise-index-vs-SP500110512.jpg 

 

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B
Samedi 12 mai :<br /> <br /> Grèce : un nouveau sondage confirme la première place du parti d'extrême-gauche Syriza : 27 % des intentions de vote.<br /> <br /> Ce signal a accru l'exaspération qui monte en Europe face à l'instabilité grecque et aux tergiversations du pays à tenir ses engagements : "la zone euro peut supporter une sortie de la Grèce", a<br /> ainsi estimé le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, dans un entretien au quotidien régional allemand Rheinische Post, paru vendredi.<br /> <br /> Le ministre allemand des Affaires Etrangères, Guido Westerwelle a pour sa part souligné devant le parlement allemand vendredi matin que le versement de nouvelles aides à la Grèce restait<br /> conditionné au respect par Athènes de ses obligations et des réformes convenues.<br /> <br /> Dans ce contexte, un sondage de l'institut Marc, réalisé sur un échantillon supérieur à 1.000 personnes et paru vendredi dans le quotidien Ethnos montre qu'une large majorité de Grecs (62,7%)<br /> souhaite voir la formation d'un gouvernement de coalition, dont 53% avec la participation du Syriza.<br /> <br /> Seuls 32 % se déclarent en faveur de nouvelles élections, inévitables si les responsables politiques grecs n'arrivent pas à s'entendre.<br /> <br /> Mais en cas de nouveau scrutin, l'enquête d'opinion fait apparaître un résultat marquant : l'arrivée en tête du Syriza avec 27% des intentions de vote, suivi par la Nouvelle Démocratie à 20%, le<br /> Pasok, toujours troisième à 12,6% puis les Grecs indépendants (droite anti-mémorandum) à 10%.<br /> <br /> Une telle montée en puissance du Syriza changerait complètement la donne car le parti d'Alexis Tsipras, qui dispose actuellement de 52 sièges, bénéficierait alors de la prime de 50 sièges accordée<br /> au parti vainqueur, le mettant en position de force pour nouer des alliances.<br /> <br /> Les communistes du KKE et le groupe néonazi, Chryssi Avghi (Aube dorée), qui sont les deux autres partis entrés au parlement depuis dimanche, reculeraient eux légèrement, respectivement à 7% et<br /> 5,7%.<br /> <br /> http://www.romandie.com/news/n/_La_Grece_reprend_des_tractations_cruciales_pour_se_trouver_un_executif52110520121030.asp
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